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Selon le dernier sondage réalisé en juin par le cabinet d’audit Deloitte Suisse, 65% des 87 responsables interrogés s’attendent à des perspectives moroses pour leur société.

Les Etats-Unis ont publié une liste d’une trentaine de nouveaux produits européens susceptibles d’être lourdement imposés dont les importations se montent à 3,1 milliard de dollars.

Le Dax allemand a perdu 3,43% et le FTSE-100 britannique 3,11%. Paris a pour sa part reculé de 2,92%, Madrid de 3,27% et Milan de 3,42%. A Zurich, le SMI a perdu 2,19%.

«Les petites entreprises sont la colonne vertébrale de l’économie locale. Leur survie est décisive pour la reprise des économies nationales», explique Charlotte Hogg, CEO de Visa en Europe.

Les immatriculations de voitures neuves dans l’Union européenne (donc hors Royaume-Uni) devraient passer de 12,8 millions d’unités en 2019 à 9,6 millions cette année.

Les présidents des institutions européennes ont exprimé au président Xi Jinping et au Premier ministre Li Keqiang leur «grave préoccupation» pour Hong Kong.

De Paris (-0,62%) à Francfort (-0,55%), de Londres (-0,76%) à Madrid (-0,92%), Milan (-0,71%) et Zurich (-1,12%), aucune des bourses européennes n’a pu profiter du rebond en cours à Wall Street.

Londres a mené la danse avec une progression de 1,10%. Paris est monté de 0,42%, Francfort de 0,40%. Milan a gagné 0,68% et Madrid de 0,32%.

Aucun accord n’est attendu pendant cette réunion. Elle doit avant tout permettre à chaque dirigeant européen de dévoiler ses objectifs, ainsi que ses marges de négociation.

Paris a mené la danse, avec une progression de 0,88%. Francfort a consolidé son rebond de la veille avec une augmentation de 0,54%.