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«Je pense que dans mon cas, moi qui ai fait beaucoup d’argent, j’ai eu beaucoup de réussite, je pense que j’ai un meilleur instinct que, le plus souvent, les gens qui sont à la Fed ou son président», a déclaré Donald Trump.

Le président Joe Biden et sa vice-présidente Kamala Harris se sont alarmés de la menace que ferait peser leur rival Donald Trump sur la démocratie américaine, quel que soit le résultat de la présidentielle en novembre.

Le solde négatif des échanges de biens et services avec le reste du monde a atteint 73,1 milliards de dollars en juin, en baisse de 2,5% par rapport au mois précédent.

Celui qui deviendrait le vice-président de Mme Harris si cette dernière était élue le 5 novembre face à Donald Trump devrait être présent pour un premier meeting en tandem mardi soir à Philadelphie.

L’indice ISM s’est établi à 51,4% en juillet, contre 48,8% un mois plus tôt et presque en ligne avec les attentes des analystes (51,3%).

La banque centrale américaine a maintenu mercredi ses taux dans la fourchette de 5,25 à 5,50% dans laquelle ils se trouvent depuis un an, une décision prise à l’unanimité.

Maintenant que l’inflation est de nouveau sur la bonne trajectoire, «les responsables de la Fed se concentrent de plus en plus sur les risques pour le marché du travail», commente Nancy Vanden Houten d’Oxford Economics.

L’enquête mensuelle ADP/Stanford Lab indique 122'000 postes créés ce mois, contre 160'000 attendus.

L’inflation ayant repris sa décrue, les responsables de la Réserve fédérale pourraient signaler demain qu’ils envisagent de lancer le mouvement de reflux des taux lors de la prochaine réunion en septembre.

L’indice du Conference Board s’est établi à 100,3 points, contre 97,8 points en juin, alors que les analystes tablaient sur 99,8 points.