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Pour 2024, les experts tablent sur une croissance du PIB de 1,0%, contre 1,2% précédemment. En 2025, ils estiment la progression à 1,5%, après 1,6% dans les précédentes projections, indique lundi un communiqué du KOF.

Le président sortant fustige notamment une «nouvelle réduction d’impôts pour les plus riches» qui aurait «un coût réel, entraînant une fois de plus des déficits massifs ou des coupes importantes dans les programmes de base».

«Je suis convaincue que nous pouvons réaliser des économies de 5% dans les dépenses publiques grâce à des gains d’efficacité et je suis déterminée à y parvenir», a martelé Rachel Reeves lors de la visite d’un hôpital dans le sud-est de Londres.

Le PIB de la quatrième économie mondiale a progressé de 0,3% au troisième trimestre 2024 comparé au deuxième.

Selon les prévisions des économistes de Raiffeisen, la croissance économique mondiale devrait être aussi faible en 2025 qu’au cours des deux dernières années.

Le produit intérieur brut (PIB) devrait s’établir à 1,3% en 2024, avant de se renforcer à 1,5% en 2025 et à 1,9% en 2026, selon les projections de l’OCDE.

De juillet à fin septembre, le produit intérieur brut (PIB) de la Suisse, corrigé des événements sportifs comme les Jeux olympiques ou l’Euro de football, a progressé de 0,2%, contre 0,4% au trimestre précédent.

L’indice UBS-CFA a reculé à -12,4 points en novembre, contre -7,7 points en octobre.

Le secteur des services a porté la croissance helvétique entre juillet et septembre, contrairement à l’industrie.

La Chine pourrait vouloir amortir la déflagration potentielle avec un traitement de choc économique, des mesures fortes, attendues de longue date par nombre d’analystes.