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Les «Trumponomics» reviennent, boostant croissance et déréglementation mais amplifiant les risques d’inflation et de dette.

De PME élitiste à leader mondial, Louis Vuitton et le secteur du luxe subissent un ralentissement dû à la fin de la frénésie de consommation chinoise.

L’hégémonie américaine est soutenue par l’excès d’épargne internationale malgré l’ampleur de la dette fédérale.

Tandis que la France prend le chemin de l’austérité, l’Allemagne glisse sur celui de la stagnation.

Les actions européennes, sous-évaluées par rapport à leurs homologues américaines, suscitent un regain d'intérêt des investisseurs.

Chocs économiques et politiques façonnent durablement les cycles économiques.

Pour François Collet de DNCA Investments, un niveau de 3,37% semble être une bonne estimation du point d’atterrissage des taux de la Fed.

La Chine met en place des mesures historiques pour restaurer la croissance, mais fait face à une chute persistante de la demande interne.

Les hausses de taux et l'inversion de la courbe inquiètent, mais l'attention se porte désormais sur le taux neutre et le marché de l'emploi.

Les marchés, confrontés à l'incertitude inflationniste et aux banques centrales, s'alignent sur un scénario de ralentissement économique modéré.