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Les grandes économies proposent d’augmenter leur engagement de financements climatiques pour les pays plus pauvres à 350 milliards de dollars par an. Chiffre jugé «inacceptable» par les pays africains.

Le représentant d’une alliance de 134 pays du Sud a réclamé aux pays développés concernés (Union européenne, Japon, Etats-Unis...) «au moins» 500 milliards de dollars de financements par an pour le climat d’ici 2030.

La loi sur l’électricité facilite la construction de grandes installations hydrauliques, photovoltaïques, éoliennes, de pompage-turbinage et de biomasse.

«Une approche politique coordonnée est nécessaire en Europe pour financer la transition verte et l’intégration des risques climatiques dans la gestion des risques des institutions financières», selon la BCE et des superviseurs.

De retour à Bakou, le commissaire européen Wopke Hoekstra a appelé à créer de nouvelles ressources financières pour les pays plus pauvres.

Cette année, la COP29 doit se conclure par un nouvel objectif pour la finance pour les pays en développement pour les aider à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et s’adapter au changement climatique.

Pour 2025, l’organisation des pays exportateurs de pétrole prévoit une consommation mondiale de 105,57 millions de barils par jour.

Le 6e rapport annuel de la major examine les perspectives d’évolution du système énergétique mondial selon trois scénarios possibles de décarbonation à l’horizon 2050, un jalon clé de la lutte contre le changement climatique.

La conférence annuelle de l’ONU sur le climat doit se conclure par un nouvel objectif d’aide financière aux pays en développement, afin qu’ils puissent réduire leurs rejets de gaz à effet de serre et s’adapter au changement climatique.

La jeune pousse issue de l’EPFZ retirera 40’000 tonnes de CO2 de l’atmosphère pour le compte de la grande banque américaine.