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Même si l’inflation s’équilibre à un niveau inférieur conformément aux objectifs des banques centrales, les rendements obligataires restent malgré tout faibles.

Les marchés obligataires indiquent que le durcissement des conditions monétaires prévu suffira pour diminuer l’inflation sur le moyen terme.

La pression monte et la transition vers un monde à zéro émission va coûter très cher, mais elle signifie aussi d’énormes opportunités pour les investisseurs.

Les banques centrales doivent persuader les opérateurs du marché sur la voie à suivre dans les années à venir pour les taux directeurs.

Si les économistes ont raison, l’année 2022 sera la deuxième année consécutive caractérisée par une croissance nominale du PIB nettement supérieure à la tendance.

L’année prochaine, il est beaucoup plus probable que la croissance se poursuive et que l’inflation diminue plutôt que d’assister à une stagflation.

Les problèmes de demande constituent la principale menace pour la croissance et les recettes à court terme.

La transition énergétique entraîne une transformation structurelle. Les entreprises du secteur doivent se diversifier davantage afin de demeurer intéressantes pour les investisseurs.

La croissance est certes ralentie, mais elle n’est pas immobilisée. Septembre et octobre seront sans doute les mois les plus volatiles.

Sous réserve d’un sans-faute en matière de politique monétaire, les taux resteront très bas, raison pour laquelle les perspectives à moyen terme sont favorables.