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Dans un climat d’incertitude, les groupes financiers doivent se préparer à l’éventualité d’une sortie désordonnée du Royaume-Uni de l’UE.

«Nous anticipons une croissance entre 1% et 1,5% mais si nous obtenons un mauvais Brexit, elle pourrait être à zéro ou négative», selon le directeur général de la RBS, Ross McEwan.

«Nous mettrons en place un système d’immigration qui met fin à la libre circulation des citoyens européens au Royaume-Uni», a déclaré Theresa May.

L’Office des statistiques nationales décrit une économie mitigée avant le Brexit.

«Quelle que soit votre entreprise, investir au Royaume-Uni vous donnera le taux d’impôt sur les sociétés le plus bas du G20», a lancé la première ministre.

«Il est inacceptable de rejeter la proposition de l’autre partie sans explication détaillée et sans contre-proposition», estime le première ministre britannique.

«Nous aimerions que le presque impossible se produise, que le Royaume-Uni tienne un autre référendum», a déclaré le Premier ministre maltais, Joseph Muscat.

Mark Carney a présenté au Conseil des ministres plusieurs cas de ce qu’il pourrait advenir à l’économie britannique, notamment en cas d’un Brexit sans accord entre Londres et Bruxelles.

La banque va fusionner sa filiale JPMorgan International Bank Limited basée à Londres avec JP Morgan Bank Luxembourg SA.

Le choix de Paris comme nouveau siège de l’EBA était connu depuis 2017, mais il restait encore à choisir le lieu exact. L’Autorité s’installera dans la tour Europlaza.