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Malgré ces mesures, l’établissement affirme que «son ambition demeure inchangée en Suisse» et qu’il veut «continuer à mettre en place son plan stratégique 2025» et poursuivre sa croissance.

Le géant français BNP Paribas fait toujours figure de référence, avec 3,1 milliards d’euros de résultat net, suivi en France par le groupe Crédit Agricole et ses 2,4 milliards d’euros de bénéfice net entre janvier et mars.

La remontée de l’inflation sous-jacente dans les économies développées ne correspond pas à une nouvelle tendance et devrait être corrigée dans les prochains mois. Des baisses de taux directeurs restent donc d’actualité.

Le changement de ton adopté par la Réserve fédérale ces dernières semaines semble indiquer que les baisses de taux arriveront plus tard que prévu.

Le bénéfice net «distribuable», qui permet une comparaison hors effets de périmètre, est en baisse de 2,2% sur un an, a annoncé la banque, qui confirme sa trajectoire 2024. L’action finit en légère hausse.

«Notre objectif est d’accroître notre part de marché et de permettre aux investisseurs suisses d’accéder à notre gamme d’ETF», explique la responsable pour la Suisse Ariane Dehn.

Lors de son dernier discours, le gouverneur Waller a indiqué que les données économiques récentes suggéraient qu’il serait opportun que la Fed réduise le nombre de baisses de taux prévues en 2024.

Les décisions et les commentaires des derniers jours ont convaincu les observateurs que 2024 allait bien marquer le début de la baisse des taux directeurs dans les économies développées.

Depuis l’an 2000, l’or a généré plus de rendement que les actions, les obligations et les liquidités.

En provenance de Credit Suisse, le nouveau cadre sera basé à Zurich. La banque continue de renforcer sa franchise Global Markets en Suisse.