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Une semaine à peine s’est écoulée depuis le passage à la nouvelle année, pourtant, le sentiment grandit que 2023 pourrait être une meilleure – ou une moins mauvaise – année que prévu pour la zone euro.

Près de 10'000 milliards de dollars ont été investis sur ces marchés, dans ce qui est devenu une classe d’actifs mondiale et de plus en plus diversifiée.

Les métiers qui seront rassemblés dans cette nouvelle unité baptisée «Private Assets» pèse déjà 30 milliards d’euros d’encours gérés ou conseillés, a précisé le groupe français.

Les investisseurs sont de plus en plus convaincus que le cycle de resserrement monétaire est désormais plus proche de sa fin que son début.

«Notre investissement dans International Woodland Company (IWC) est en phase avec notre ambition de devenir un gérant d'actifs durable de premier plan», explique David Vaillant de BNP Paribas AM.

Il existe un large consensus, voire une unanimité, sur le fait que les risques à la baisse, pesant sur la croissance du PIB, l’emportent du fait d’une multiplicité d’incertitudes et de vents contraires.

La poursuite de la détente obligataire et le regain des actions marquent-ils le début du rally de Noël ou une attitude désespérée de se positionner contre les banques centrales?

La Commission européenne estime qu'entre le début de la pandémie et la fin 2021, le patrimoine des ménages s'est globalement accru de quelques 2700 milliards d'euros au-delà de la tendance normale.

«La remontée progressive des taux a un impact positif sur les revenus» puisque les banques prêtent désormais plus cher, explique Thibault Douard de Tikehau Capital.

Le gestionnaire d’actifs présente ses 10 engagements, à commencer par la réduction de l'empreinte carbone de ses investissements de 30% d'ici 2025 et de 50% d'ici 2030.