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Le crédit privé pourrait contribuer à combler le vide laissé par le retrait des banques de certains prêts et offrir des rendements potentiellement attrayants aux investisseurs.

Les négociations visant à relever le plafond de la dette américaine s'intensifient. En janvier, le Trésor a atteint le «plafond» de 31’400 milliards de dollars, c'est-à-dire la limite du montant de la dette qu'il peut émettre.

Quelques signes de «prises de risque» ont été constatés durant le mois d’avril avec des allocations en actions émergentes et une rotation continue vers les ETP d'actions européennes de la part des investisseurs américains.

Les tensions financières provoquées par les hausses de taux d'intérêt ont fait trembler le secteur. Des opportunités ressortent dans certaines propriétés industrielles américaines.

Les principales banques centrales devraient à nouveau relever leurs taux. Le marché de l’emploi américain toujours tendu devrait continuer à stimuler la pression sur les salaires.

Notre nouveau plan d'action prévoit de modifier rapidement les portefeuilles en fonction de l'ampleur des dégâts anticipés.

Cette année, les secteurs qui présentent un intérêt stratégique sont l’agriculture, la technologie et la relocation des chaines d’approvisionnement.

Les actions et les obligations ont progressé conjointement cette année. Certains pourraient être tentés de revenir à une approche plus traditionnelle de construction de portefeuilles, comme celle du 60/40.

Le groupe dirigé par Larry Fink a réalisé entre janvier et fin mars un chiffre d’affaires de 4,2 milliards de dollars, en baisse de 10% sur un an, mais supérieur aux anticipations des analystes.

Le mois de mars a enregistré des flux records, notamment vers les ETP obligataires qui ont atteint 38 milliards de dollars.