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La commission compétente du National a approuvé un projet pour notamment relever les contributions fédérales annuelles de 25 millions de francs.

«Nous allons discuter de la manière de continuer à soutenir l’Ukraine à long terme, des engagements de sécurité et des garanties que nous pouvons apporter», indique le chef de la diplomatie de l’UE Josep Borrell.

Les organisations internationales et soutiens de l’Ukraine ont commencé à préparer la reconstruction et l’après-conflit.

Le groupe bâlois promet par ailleurs des investissements dans le secteur agricole local et le réseau d’exportation, ainsi que dans le rétablissement du fret maritime.

Une somme de 6 milliards devrait permettre au pays attaquer par la Russie de s’équiper en véhicules blindés et renforcer sa défense anti-aérienne.

La majorité des ressources ira aux pays d’Afrique, du Moyen-Orient, d’Europe de l’Est et d’Asie centrale et du Sud.

Les responsables ukrainiens ont fait part d’un besoin de 5 milliards de dollars par mois pour continuer à faire fonctionner leur économie, inique la directrice générale Kristalina Georgieva.

«Les besoins de financement sont importants, urgents et pourraient augmenter considérablement à mesure que la guerre se poursuit», a réagi la directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva.

La Banque européenne de reconstruction et développement compte apporter un «soutien ciblé sur les réfugiés, les entreprises et la sécurité énergétique».

La Banque mondiale a précisé que les Pays-Bas et la Suède mettent la main au pot, respectivement à hauteur de 89 millions de dollars et de 50 millions de dollars.