La dynamique économique américaine focalise l’attention des investisseurs sur les actions aux perspectives de croissance importantes. Le niveau des taux d’intérêts ne doit pas faire oublier l’attrait des obligations internationales dans la configuration actuelle.
Baisse de taux à venir
L’année 2022 restera dans les annales pour la classe d’actifs obligataires comme une année cataclysmique, mal nécessaire au contrôle de l’inflation. Les banques centrales ont réussi leur pari en réduisant massivement la hausse des prix jusqu’à revenir à une situation d’avant choc. Dès 2024, avec les bonnes statistiques inflationnistes, elles ont pu déclencher une phase d’assouplissement monétaire.
C’est la Banque Nationale Suisse (BNS) qui a initié le mouvement avant que la BCE puis la FED ne mettent en place la même politique.
Taux directeurs des banques centrales
Même si l’élection de Donald Trump et la perspective de barrières tarifaires a contraint la FED à une pause, les perspectives sont plutôt baissières sur l’ensemble des taux d’intérêts directeurs des principales banques centrales.
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