Glencore entend renouer avec la croissanc de ses activités d’extraction

AWP

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La pogression doit être notamment soutenue par le redémarrage et l’extension des capacités sur le site de Katanga, en Répulique démocratique du Congo.

Le géant minier et du négoce de matières premières zougois Glencore affiche des ambitions de croissance pour la plupart ses activités d’extraction au terme du premier semestre 2018. La pogression doit être notamment soutenue par le redémarrage et l’extension des capacités sur le site de Katanga, en Répulique démocratique du Congo.

Le groupe de Baar a ainsi étoffé sa production semestrielle de cuivre de 8% en comparaison annuelle à 696’200 tonnes et celle de cobalt de 31% à 16’700 tonnes. Le volume de cuivre effectivement vendu s’est toutefois contracté de 32’000 tonnes.

La cession d’infrastructures en Afrique à Trevali Mining en août 2017 a fait plonger de 13% le volume de zinc de production propre, à 498’200 tonnes. La remise en service des opérations sur le site australien de Mount Isa doit toutefois permettre de renouer avec le niveau atteint en 2017.

L’entrée en fonction d’une seconde ligne de production à Koniambo, en Nouvelle-Calédonie, ainsi qu’un gel temporaire l’an dernier des activités sur le site australien de Murrin a fait rebondir d’un bon cinquième l’extraction de nickel, à 62’200 tonnes.

Du côté des agents énergétiques, la production de charbon a stagné à 62,0 millions de tonnes, handicapée par des conditions météorologiques mais soutenue par une première contribution de la participation dans Hunter Valley. Le déclin anticipé de l’extraction d’hydrocarbures en Guinée équatoriale s’est traduit par un tassement de 13% des volumes attribuables à Glencore, à 2,3 millions de barils.

La multinationale anticipe une accélération généralisée de sa production sur la seconde moitié de l’année.

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