Addex Therapeutics a divisé par plus de deux sa combustion de liquidités à des fins de recherche et développement au troisième trimestre à 0,9 million de francs. Cette réduction résulte essentiellement du report du lancement d’une étude clinique de phase IIb/III sur le dipraglurant contre la dyskinésie induite par le traitement au levodopa contre la maladie de Parkinson.

Les frais généraux et administratifs ont été allégés de 0,1 à 1,2 million. Conditionnées aux aléas des partenariats, les recettes ont fondu de quatre cinquièmes à 100’000 francs, énumère un compte-rendu diffusé mardi.

La perte nette a été ramenée à 3,3 millions de francs, contre 4,8 millions un an plus tôt. Fin septembre, le laboratoire plan-les-ouatien disposait de 17,8 millions en liquidités et équivalents, contre encore 31,5 millions fin décembre 2019.