Le monde s'enfonce dans les déchets: en 2050, la Banque mondiale prévoit une augmentation de la production mondiale annuelle de déchets d'environ 2,01 milliards de tonnes à 3,4 milliards de tonnes - ce qui correspond à plus du double de la croissance de la population sur la même période.
Mais le recyclage est encore trop faible dans le monde: si l'on regarde les taux de recyclage des déchets municipaux, il est de 43% en Europe, alors que les Etats-Unis ne recyclent qu'un tiers de leurs déchets. Dans le monde entier, seuls 14% des déchets ont une «seconde vie». La plupart des déchets qui ne peuvent pas être recyclés sont incinérés. Le problème est que cela augmente les émissions globales de dioxyde de carbone et est donc nuisible pour l'homme et le climat.
Une matière première importante
Les déchets ne sont pas seulement le sous-produit de notre consommation, les déchets sont aussi et surtout précieux. Car s'ils sont correctement recyclés, les déchets sont une matière première importante.
Le plus grand producteur de déchets au monde est les Etats-Unis avec 624’700 tonnes. Les Etats-Unis disposent donc d'un énorme potentiel de ressources et de matières premières qui peuvent être utilisées.
GFL est devenue l'entreprise de gestion des déchets urbains cotée en bourse qui connaît la plus forte croissance aux Etats-Unis.
GFL Environnemental fait partie du top 5 des entreprises de gestion des déchets en Amérique du Nord. Avec un taux de croissance annuel moyen de 32% au cours des cinq dernières années, GFL est devenue l'entreprise de gestion des déchets urbains cotée en bourse qui connaît la plus forte croissance aux Etats-Unis. Les concurrents ont atteint une croissance annuelle moyenne de 10% pendant la même période. Cela s'explique notamment par le fait que GFL réalise des investissements annuels nettement plus élevés dans le domaine des fusions et acquisitions.
La force de l'entreprise réside dans la diversité de ses services. Le «guichet unique» de GFL offre une vaste gamme de solutions environnementales adaptables et intégrées, toutes livrées par un seul fournisseur, ce qui permet aux clients d'économiser du temps, des efforts et de l'argent.
Rompre le cycle du jetable
L'élimination générale des déchets résiduels, des déchets encombrants, des déchets spéciaux, des déchets verts et des matériaux de construction constitue non seulement la base du modèle commercial de GFL, mais aussi la source de récupération de nombreux matériaux recyclables.
En 2022, plus d'un million de tonnes de fibres, 468’000 tonnes de matériaux de construction et de bois et 184’000 tonnes de plastique ont ainsi pu être récupérés dans les installations de GFL.
GFL dispose en outre d'un réseau d'entreprises pour l'élimination et le recyclage des déchets liquides et des sols. Ainsi, des solutions complètes sont également proposées pour l'assainissement et la réutilisation des sols contaminés.
Transformer les déchets en énergie
Environ 44% des déchets produits dans le monde sont des déchets organiques. Lorsqu'ils sont stockés dans des décharges, du gaz de décharge est produit. Au lieu de le laisser s'échapper dans l'atmosphère, le gaz de décharge peut être collecté, transformé et utilisé comme source d'énergie renouvelable ou biométhane.
On s'attend à ce que le marché du biogaz soit multiplié par 10 d'ici 2050.
GFL profite de cette tendance et a considérablement augmenté ses investissements dans les installations de gaz de décharge au cours des dernières années. D'ici 2030, 85% de la flotte de GFL aux Etats-Unis fonctionnera au gaz naturel renouvelable provenant de ses propres décharges.
Solide perspective de croissance
Les barrières élevées à l'entrée sur le marché dans le secteur de la gestion des déchets, qui continue de croître, donnent à l'entreprise un élan supplémentaire et renforcent en outre le pouvoir de GFL en matière de fixation des prix.
Tout cela ne profite pas seulement à GFL et à ses investisseurs, mais aussi à l'environnement. En 2022, 12,5 millions de tonnes d'émissions de gaz à effet de serre ont été évitées et du CO2 a été capturé. Cela équivaut aux émissions annuelles de CO2 de 1,8 million de véhicules à combustion.