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Les investisseurs ne devront pas regarder en arrière (back) car l’année 2022 ne pourra probablement pas porter le CAC 40 à des niveaux de performance similaires à l’année 2021.

L'intérêt des titres vifs dans une stratégie de gestion de patrimoine diversifiée.

À défaut de vivre en «Absurdie», comme le chantait Michel Sardou, les marchés financiers ont semblé vivre depuis quelques jours en «Cascadie», soit le nom d’une faille tellurique au Nord-Ouest de l’Amérique du Nord qui pourrait être responsable de séismes géants.

Le capitalisme est destiné logiquement à apporter le progrès et le confort au plus grand nombre. Mais parfois, ce progrès n’est pas sans risque non plus.

La Chine provoque des ondes de baisse sur les marchés actions en yoyo, particulièrement sur les marchés européens. Ainsi, le CAC 40 n’arrive plus à rejoindre son point haut de 6900 points atteint mi-août.

A l’heure où Lionel Messi vient de rejoindre Kylian Mbappé au PSG avant la fin du traditionnel «mercato» du football, les investisseurs aussi vont pouvoir s’interroger sur la direction de leur «mercato».

Mi-virtuel mi-réel, le metaverse est censé faire cohabiter l’homme physique et son avatar numérique dans tous les domaines de son existence.

L’été n’est pas une période toujours propice. Les investissements doivent être faits avec parcimonie et sélection.

De nombreuses cybers-attaques ont été menées: la dernière en date étant celle sur le pipeline américain Colonial Pipeline perpétrée par un groupe de hackeurs nommé justement «DarkSide».

Les risques de changement de politique monétaire aux États-Unis (bien pilotés cependant par Jérôme Powell) ou en Europe n’inquiètent pas spécialement la communauté financière ou tout au moins pas encore.