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Alors que les négociations tarifaires sont en cours, la BCE devrait mettre l’accent sur sa capacité à soutenir l’économie si nécessaire.

La Banque nationale suisse décrit la politique monétaire comme «appropriée».

Les risques de surprise négative sont plus élevés l’année prochaine qu’ils ne l’étaient en 2023.

Les premières baisses de taux risquent de se concrétiser plus rapidement en Zone euro qu’aux États-Unis.

Le Moyen-Orient traverse une crise sans précédent d’un point de vue humain. Les conséquences économiques sont encore incertaines.

Une croissance et une demande résilientes risquent d’impliquer une inflation résiliente.

La partie économiquement «douloureuse» de la baisse de l’inflation est encore à venir.

Le changement sociétal sera profond, mais attention à la précipitation.

La réouverture chinoise ne change pas radicalement la donne, mais offre néanmoins des aspects positifs.

Une hausse des taux de la Fed est attendue le 3 mai, juste au-dessus de 5%. Nous pensons que cela conclura ce cycle de resserrement monétaire.