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L’astuce, parfaitement légale, consiste à classer la grande majorité (plus de 90%) de l’exposition souveraine au coût amorti, ce qui signifie que les variations de l’OAT n’ont pas d’impact sur la rentabilité ou les ratios de fonds propres réglementaires.

Selon Simon Outin d’Allianz GI, il y a moins de signes de nervosité chez les déposants en Europe qu’aux Etats-Unis.