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Entre janvier et fin septembre, le groupe rhénan a dégagé un volumes d’affaires en baisse de 0,7% à 6,89 milliards de francs. Corrigé des effets de changes, la croissance est de 0,3%.

SGS réaffirme les grandes lignes de sa stratégie pour l’exercice en cours et les trois suivants, après avoir réactivé son programme de croissance par acquisitions.

De janvier à fin octobre, l’afflux de nouveaux actifs nets a totalisé 7,4 milliards de francs, ce qui correspond à un taux de croissance annualisé des nouveaux actifs nets de 6,3%.

Les dépenses publicitaires et de marketing seront relevées jusqu’à 9% des ventes d’ici la fin de l’année prochaine, afin de soutenir la croissance du groupe veveysan.

Après six mois sur l’exercice 2024/25, le chiffre d’affaires s’est inscrit à 1,83 milliard de francs, en hausse de 4,6% sur un an. A la mi-journée, l’action recule de 1,6%.

En dépit de revenus stables, la rentabilité a plongé de près d’un quart en comparaison annuelle.

L’entreprise s’appuiera notamment sur son «vaste réseau de gestionnaires d’investissement de croissance de premier plan», établi à travers son activité Private Equity Partnership Investments.

«Les reverse convertibles sont particulièrement appréciés cette année par les investisseurs qui profitent de manière ciblée des opportunités du marché», explique le président de la SSPA Georg von Wattenwyl.

Le recul du bénéfice net ajusté est notamment dû aux plus-values enregistrées au cours de la même période de 2023, dont une de 193 millions due à la vente d’un complexe immobilier à Londres.

Entre janvier et fin septembre, le géant zurichois a encaissé des recettes de primes en hausse de 4% sur un an à 15,88 milliards de francs, alors que les commissions ont crû de 6% à 1,88 milliard.