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«Le résultat de ce trimestre a profité de l’évolution positive des revenus récurrents et des moindres provisions et dépréciations», explique la banque.

La banque a réalisé un bénéfice net de près de 1,8 milliard d’euros (2,0 milliards de francs), contre environ 1,3 milliard au premier trimestre 2020.

Sur les trois premiers mois de l’année, le bénéfice net de la banque dirigée par Kjerstin Braathen a progressé de près de 60%.

Parmi les objectifs du plan en cours figurent une hausse du bénéfice par action de 6 à 8% par an et des dividendes cumulés de 4,5-5 milliards sur la période 2019-2021.

Le bénéfice opérationnel, non-Gaap, bondit de plus de 200%. Le groupe bat largement les prévisions des analystes et le titre grimpe.

Les monnaies étrangères sont les principales contributrices aux bons résultats de ce début d’année.

Le bénéfice net trimestriel a bondi de 71% sur un an, à 788 millions d’euros, dépassant les attentes des analystes.

Le chiffre d’affaires a reculé de 15% à 2,659 milliards de livres, à cause des faibles rendements sur les taux et d’une activité transactionnelle réduite, malgré une bonne activité dans les prêts immobiliers.

Le bénéfice net trimestriel du groupe dirigé par Yves Perrier a atteint 297 millions d’euros (327,8 millions de francs), en progression de 53,5% par rapport à la même période un an plus tôt.

«Toutes les régions hors France ont renoué avec la croissance organique», a précisé la directrice financière du groupe, Carole Ferrand.