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Le bénéfice net s’est fixé à 643 millions de dollars, contre une perte de 248 millions un an auparavant.

Le chiffre d’affaires a crû de 8% à 5,892 milliards d’euros. En termes organiques, le taux de croissance a atteint 3%.

La performance a été portée notamment par les opérations d’intérêt, dont le résultat brut a gonflé de 12,3% à 96,2 millions de francs.

La firme lausannoise, présidée par Patrick Combes, s’est dite portée par la politique de resserrement monétaire de la banque centrale contre l’inflation.

Le résultat d’exploitation consolidé avant amortissements (Ebitda) a augmenté de 2,4% à 1,16 milliard. À taux de change constants, il a augmenté de 3,0%.

Malgré ce recul des résultats, le président du directoire Nicolas Namias insiste sur «la performance commerciale», qui concerne tous les métiers du groupe.

Le bénéfice net part du groupe ressort à 1,5 milliard de livres (1,7 milliard de francs), en hausse de 50% sur un an, d’après un communiqué, qui attribue ce progrès à «la reprise en cours, et le contexte de taux élevés».

UniCredit a multiplié par plus de sept son bénéfice net au premier trimestre, à 2,06 milliards d’euros (2,02 milliards de francs), sous l’effet de la hausse des taux d’intérêt, et a relevé ses prévisions pour l’ensemble de l’année.

La cession de Bank of the West, acquise par BNP Paribas en 1979 et vendue à 16,3 milliards de dollars début février, a permis au groupe d’enregistrer une plus-value de près de 3 milliards d’euros.

Sur l’exercice 2022, le profit de la banque privée grimpe à 8,6 millions de francs, contre un peu plus de 4,0 millions en 2021.