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«Si l’économie évolue globalement comme prévu, nos achats d’actifs seront achevés d’ici le milieu de l’année prochaine», a de nouveau indiqué le président Jerome Powell.

Les émergents n'ont historiquement pas utilisé la politique monétaire pour stimuler leurs économies au cours des crises. C’est maintenant chose faite.

L’assouplissement quantitative (QE) a modifié la façon d’envisager la politique monétaire. Un nouveau cadre est nécessaire pour combiner taux directeur et QE selon l’objectif de la politique monétaire.

Les rachats nets de dette publique et privée s’arrêteront à la fin décembre. Parallèlement, les taux sont maintenus au plus bas.

Le «QE» relève du «domaine de la politique monétaire pour laquelle l’Union dispose d’une compétence exclusive» pour les pays utilisant l’euro, estime la Cour.

La fin de ce programme intervient à un moment où la conjoncture en zone euro montre des signes de faiblesse.

Plusieurs moyens permettent d’améliorer la résilience économique. L’un d’eux consiste à prendre des mesures contracycliques.

On craint une diminution de l’effet marginal des achats d’actifs par la BoJ, entraînant l’établissement d’une borne supérieure effective pour le QE. Avec des conséquences bien au-delà du Japon.

La BCE a réaffirmé sa décision d'arrêter fin décembre les achats nets d'actifs sur le marché ou «QE».

Cette sortie progressive du «QE», passera par une décrue de son rythme entre octobre et décembre, à 15 milliards d’euros mensuels contre 30 milliards actuellement.