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Surperformance des actions européennes par rapport à leurs homologues américaines pour le quatrième trimestre consécutif. Nouvelles positives sur le front de l’inflation. Pleins feux sur la technologie chinoise.

L’exceptionnalisme américain est remis en question et l’appétit pour le risque des investisseurs revient progressivement après la pandémie.

Les banques cherchent à restaurer la confiance. Les anticipations de taux d’intérêt reculent. Il convient d’éviter les obligations à haut rendement.

Nous devons nous assurer que toutes les entreprises, même dans les secteurs les plus traditionnels, modifient leur approche pour adopter des pratiques plus durables.

Les tendances qui ont émergé dans l’alimentaire au cours des cinq à dix dernières années vont s'amplifier, et de nouveaux défis vont se présenter.

L’inflation reste à l’ordre du jour… mais les marchés s’accommodent de taux durablement élevés. Les obligations demeurent volatiles.

Les données d'aujourd'hui ne feront pas le bonheur de la Banque nationale suisse, qui restera hawkish.

Les marchés revoient à la hausse la trajectoire des taux de la Fed. Les actions européennes résistent mieux que les actions américaines. Le risque géopolitique monte d’un cran.

La Chine fait son grand retour dans les chiffres de vente des marques de luxe. A long terme, le marché chinois est pressenti comme leader par le secteur du luxe.

Les actions américaines en hausse malgré la Fed. Les surprises concernant les bénéfices plus importantes en Europe qu’aux Etats-Unis. Un attrait de la dette à court terme qui perdure.