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Longtemps dans le brouillard, l’activité économique européenne voit son horizon se dégager peu à peu. Sentiment qui se propage également aux analystes financiers.

La force de l’économie américaine n’a cessé de surprendre ces dernières années: après une solide croissance de 2,5% en 2023, les anticipations sur 2024 sont régulièrement revues à la hausse, à 2,4% désormais.

Le chiffre a résonné tel un vibrato dans le concerto enjoué qui accompagne la marche des métaux industriels. 10'000 dollars, c’est le prix d’une tonne de cuivre selon les contrats à terme traités actuellement sur le marché.

Moins de 100 jours avant le début des Jeux Olympiques de Paris 2024, la course aux calculs est ouverte.

En décembre dernier, lors de la dernière réunion de la Fed de l’année, Jerome Powell tenait un discours aux accents accommodants. Un discours qui a eu pour conséquence directe de «détendre les conditions financières».

La Grande-Bretagne a maintes fois montré la voie de la résilience après avoir frôlé l’effondrement. Sera-ce de nouveau le cas en 2024?

Comme toute innovation prometteuse, la démocratisation de la voiture électrique résout certains défis et en crée de nouveaux. Mais n’est-ce pas le propre de toute innovation?

Lors de ses vœux aux armées, le 19 janvier dernier, le Président l’annonce: «la France a un rendez-vous avec son industrie de défense, une industrie en mode économie de guerre». Quelles en sont les implications?

L’indice phare de la bourse américaine clôturera l’année 1996 sur une nouvelle hausse de 23%. Un panorama qui n’est pas sans rappeler la situation actuelle.

L’industrie des semi-conducteurs est au cœur de toutes les grandes innovations technologiques. Il n’y a pas de digitalisation possible sans puces.