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Mario Draghi laisse une zone euro qui, après plus de cinq années de reprise, connaît un très sérieux coup de froid.

La disparité sectorielle est la caractéristique la plus remarquable du ralentissement que traverse la zone euro.

L’un des signes nets du retour de la confiance des consommateurs est l’envolée des transactions sur le marché des logements anciens.

L’anxiété touchant aux questions commerciales est désormais omniprésente dans le débat de politique économique.

La reprise du secteur immobilier est un signal positif pour l’économie américaine en 2020.

Le plein emploi reste l’objectif lointain et il ne serait pas aberrant de revenir dans les deux ans à 7% de chômage.

Le monde connaît une crise de gouvernance, dont les derniers développements augmentent le risque de crise économique.

A défaut de pouvoir influencer les risques externes, il conviendrait de manière préventive de soutenir autant que possible la demande intérieure.

Historiquement, un choc inflationniste est nécessaire pour faire dérailler les dépenses des ménages. Aux États-Unis, rien de tel ne se profile à l’horizon.

La phobie récessionniste est devenue presque virale cet été du fait de l’inversion de la courbe des taux.