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«On continuera de défendre avec force la cohérence de nos engagements et donc (une) politique commerciale cohérente», assure le président devant les ambassadeurs français réunis à l’Elysée.

«La conclusion de l’accord avec l’UE signifie notamment que les Etats du Mercosur disposent de plus de ressources pour se consacrer au processus avec l’AELE», déclare une porte-parole du Département de l’économie.

Tandis que la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen se réjouit d’«un accord qui bénéficiera aux deux» parties, la France s’active pour empêcher l’adoption du texte.

Le conseiller fédéral a déploré que les opposants parlent déjà de référendum avant d’avoir lu texte.

L’AELE, dont fait partie la Suisse, et le marché commun de quatre pays d’Amérique du Sud Mercosur ont conclu un accord de libre-échange.

Une coalition d'organisations paysannes, de consommateurs et d'ONG s'est dite favorable à un accord de libre-échange entre la Suisse et le Mercosur, mais avec des critères contraignants de durabilité.

«Nous avons décidé d’explorer de nouvelles routes de coopération pour renforcer notre relation économique et commerciale», a indiqué le président mexicain Enrique Peña Nieto.

Paraguay, Argentine, Brésil et Uruguay disent viser un accord de commerce global avec un engagement partagé pour la libéralisation du commerce et l’ouverture des marchés.