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Durant la semaine achevée le 28 juin, les réserves commerciales ont dégringolé de 12,2 millions de barils, une période marquée par un rebond de la demande.

Vers 12h25, le Brent était atone à 86,24 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), cédait 0,07% à 82,75 dollars.

Vers 11h30, le Brent gagnait 0,68% à 87,19 dollars, après avoir atteint 87,25 dollars, son plus haut niveau depuis fin avril.

Vers 12h15, le Brent dont c’est le premier jour d’utilisation comme contrat de référence, gagnait 0,28% à 85,24 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison en août, montait de 0,25% à 81,74 dollars.

En sept jours, la tonne du principal composant du chocolat a perdu près de 29% de sa valeur à la Bourse de Londres, et environ 14% à New York.

Vers 12h35, le Brent se rehausse de 0,75% à 87,04 dollars et le WTI monte de 0,80% à 82,39 dollars.

Le Brent termine sur un gain de 1,33% à 86,39 dollars et le WTI finit sur une avancée de 1,03% à 81,74 dollars.

Peu de produits structurés cotés offrent une exposition diversifiée aux matières premières, alors que ce secteur reprend des couleurs.

Le Brent termine sur un gain de 0,28% à 85,25 dollars et le WTI finit sur un sursaut de 0,08% à 80,90 dollars.

«On a l’impression que la tendance baissière est en pilotage automatique», résume Sébastien Poncelet, spécialiste des céréales chez Argus Media France (cabinet Agritel).