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Le «Robot» né du développement du «big data» dit «pas de récession à l'horizon». Alors écoutons-le et arrêtons de pleurer.

Entrons-nous dans une «décennie perdue» à la japonaise? Et comment adapter nos portefeuilles à cette situation?

La résilience de la croissance économique, le positionnement extrême et les valorisations tendues rendent les actifs de couverture vulnérables.

Malmené depuis plusieurs mois par les tensions commerciales sino-américaines, le cuivre a légèrement repris son souffle cette semaine. L’or termine en légère baisse.

Dans l’attente de taux encore plus bas, les marchés tentent d’anticiper plus que jamais les futures interventions des banques centrales.

La situation actuelle se rapproche de celle de 2016 lorsque la croissance mondiale fléchissait à la suite du ralentissement en Chine.

Les chiffres macroéconomiques ne sont pas si mauvais sans être bons et nous voyons des poches de risques accrus.

La principale question macroéconomique est de savoir si une Fed plus accommodante et une économie américaine résiliente seront en mesure de tirer le reste de l’économie mondiale vers le haut.

Le sentiment du marché était optimiste; les valorisations, généralement peu regardées… jusqu'à ce qu'un tweet réveille les «rêveurs éveillés».

Vers 16h, l’once d’or est montée à 1510,50 dollars, soit une hausse de 2,4% par rapport à mardi soir.