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Le baril londonien termine en baisse de 0,62% à 84,33 dollars tandis que celui de New York grappille 0,20% à 82,44 dollars.

L’incertitude est de retour: la prudence s’impose.

Le baril coté à New York atteint en séance 82,49 dollars, avant de clôturer sur un gain de 1,19% à 82,28 dollars. Le Brent finit de son côté en hausse de 1,02% à 84,86 dollars.

Avec une hausse de près de 10%, le métal rouge s’apprêtait vendredi à boucler sa meilleure semaine depuis la fin d’année 2016.

Le Brent termine sur une avancée de 0,98% à 84 dollars et le WTI finit sur un gain de 1,08% à 81,31 dollars.

Durant la semaine achevée le 8 octobre, les réserves de brut ont progressé de 6,1 millions de barils, alors que les analystes tablaient sur une hausse de seulement 1 million.

Dans son rapport mensuel, le cartel estime que la demande pétrolière rebondira de 5,82 millions de barils par jour (mb/j) cette année, alors qu’il prévoyait 5,96 mb/j le mois dernier.

Vers 11h35, le Brent abandonnait 0,54% par rapport à la veille, à 82,97 dollars à Londres. À New York, le WTI baissait de 0,48% à 80,25 dollars.

Le Brent finit sur une perte de 0,27% à 83,42 dollars tandis que le WTI termine sur un gain de 0,14% à 80,64 dollars.

Pour la première fois depuis octobre 2014, le WTI finit à plus de 80 dollars, en hausse de 1,47%. De son côté, le Brent atteint un plus haut de 3 ans en séance à 84,60 dollars.