Allnews

Le bénéfice net part du groupe atteint 3,6 milliards de livres (4,2 milliards de francs) pour les neufs premiers mois de l’année tandis que le chiffre d’affaires a augmenté de 8% à 13,3 milliards de livres.

Le chiffre d’affaires a augmenté de 12% à 8,5 milliards de livres, mais le groupe a inscrit une charge pour dépréciation de 377 millions de livres, prenant notamment en compte l’inflation galopante.

Le bénéfice net part du groupe est ressorti pour la période à 1,07 milliard de livres (1,30 milliard de francs), contre 1,28 milliard un an plus tôt.

L’établissement britannique indique s’adapter aux pratiques de ses clients. Les salariés dont le poste est supprimé doivent se voir proposer d’autres emplois dans le groupe.

Le bénéfice net part du groupe est ressorti à 5,4 milliards de livres, contre 865 millions de livres un an plus tôt.

Le groupe a par ailleurs revu à la hausse ses prévisions pour 2021, relevant notamment que les reprises de provisions «représenteront un crédit sur l’ensemble de l’année».

Le chiffre d’affaires net de primes d’assurances a augmenté de 2% à 7,6 milliards de livres, même si l’augmentation est bien plus marquée hors primes d’assurances.

Lloyds justifie sa décision, annoncée mercredi soir, en disant que les clients font «nettement» moins de transactions dans les agences en question.

Le profit net a atteint 1,4 milliard de livres (1,78 milliard de francs) sur les trois premiers mois de l’année.

L’année précédente, le bénéfice avait déjà chuté de 38% à 2,46 milliards de livres à cause des dédommagements dans le cadre du scandale PPI.