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L’indice Nikkei des 225 valeurs vedettes, a finit sur une progression de 1,19% (255,27 points) à 21.720,25 points alors qu’il avait ouvert en hausse de 0,42%.

Haruhiko Kuroda est l’un des principaux artisans du redressement de l’archipel via une ambitieuse politique monétaire, qu’il a instaurée dès son arrivée à la tête de la BoJ, au printemps 2013.

Le Nikkei des 225 valeurs vedettes avait démarré dans le vert, mais il a effacé ses gains au fil de la séance pour céder à la clôture 0,43% (-90,51 points) à 21.154,17 points.

Le ministre de l’Economie Toshimitsu Motegi s’est félicité de ces statistiques, rappelant que c’est la première fois en 28 ans que le Japon enchaîne huit trimestres positifs consécutifs.

A l'issue de la séance, la première de la semaine (lundi était férié au Japon), le Nikkei des 225 valeurs vedettes a cédé 0,65% (-137,94 points) à 21.244,68 points. Il avait dévissé de plus de 8% la semaine dernière.

A la clôture, le Nikkei des 225 valeurs vedettes a lâché 2,32% après être tombé de 3,5% au plus bas de la séance. Sur l’ensemble de la semaine, il a dégringolé de 8,13%.

Ces opérations visent à examiner la structure interne de gourvernance selon Taro Aso, le ministre des Finances.

Le marché actions a sur-réagi au Japon, suite à la chute amorcée à New York. La situation fondamentale reste cependant bonne à Tokyo.

Le Nikkei perd 1,43% à 23'291,97 points. Le secteur high-tech à la peine.

Banque du Japon: prématuré pour une politique «reversale».