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L’indice PMI, calculé sur la base de sondages d’entreprises, s’est établi à 55,8 points, à son plus haut niveau depuis cinq mois, après 52,3 points en janvier, ce qui était sa plus basse performance depuis onze mois.

Les difficultés au niveau des chaînes logistiques semblent en outre commencer à se résorber. Pour l’heure, le secteur tertiaire pâtit plus fortement de la vague Omicron.

La diminution des stocks de produits finis témoigne d’une demande extrêmement robuste.

Selon l’indice PMI de Credit Suisse et procure.ch, les directeurs d’achat favorisent les achats en Suisse et en Europe du fait de la pandémie.

La situation s’est également améliorée sur le marché du travail puisque près d’un tiers des entreprises étoffent leurs effectifs – mais la reprise reste relativement modérée sur ce front.

Les difficultés d’approvisionnement et la hausse généralisée des prix restent à l’ordre du jour. Pour le moment, la création d’emplois continue de tourner au ralenti, mais la réduction de l’horaire de travail a nettement perdu en importance.

La baisse constatée au cours de la période sous revue est à relativiser. L'indicateur s'est hissé en mai à des sommets jamais atteints depuis la première édition du PMI manufacturier helvétique en 1995.

La reprise dans l’industrie helvétique est tellement rapide que les difficultés d’approvisionnement se multiplient, ce qui fait même grimper les prix.

La reprise dans l’industrie helvétique est tellement rapide que de nombreuses pénuries apparaissent, qui font même grimper les prix.

La forte dépendance à l’export et la solidité de la situation, en particulier en Asie et aux États-Unis, a des répercussions positives.