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Netflix et Facebook ont été victimes du courroux des investisseurs qui rêvent depuis maintenant trop longtemps de croissances inaltérables.

Le président de la Fed, lui-même, commence à évoquer les risques d’une guerre commerciale tous azimuts.

C'est maintenant, alors qu'il n'y a pas de choc majeur apparent à l'horizon, qu'il faut profiter de ces fulgurantes anomalies de valorisation.

Le conflit commercial lancé par Donald Trump n’est pas encore alarmant mais pourrait se traduire à long terme par des risques d'une stagflation très néfaste.

Pour définir ce sport qu'est le football, on a coutume de dire qu'à la fin c'est toujours l'Allemagne qui gagne. Ce n'est (heureusement) pas toujours vrai.

Il y a comme un air de Nifty-Fifty des années 1960-1970 lorsque les valeurs à PE élevés trônaient au panthéon des performances boursières.

Si les marchés et plus globalement les multiples de valorisation ne résistent pas aux tweets de Donald Trump, ils ont en revanche apprécié les déclarations de Mario Draghi.

Les infrastructures sont la colonne vertébrale de l’économie moderne, selon Igor de Maack, gérant chez DNCA Finance.

La réponse protectionniste américaine n’est pas le fruit d’un protectionnisme éducateur.

Les discussions menées par les partis vainqueurs du suffrage se sont mis d'accord sur un gouvernement équilibré avec un ministre de l'économie plus euro-compatible.