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Graphique de la semaine de GSAM. Les indicateurs économiques ont souvent prévu les récessions, mais pas toutes.

Graphique de la semaine de GSAM. Malgré l'augmentation des licenciements, les titres ne reflètent pas forcément une faible demande de travail aux USA.

Graphique de la semaine de GSAM. Malgré la Réserve fédérale, les taux des comptes d'épargne sont restés bas.

Graphique de la semaine de GSAM. Le vent tourne en faveur des actions en dehors des Etats-Unis.

Le chiffre d’affaires de l’établissement a reculé de 16% à 10,6 milliards de dollars et son bénéfice net s’est affiché à 1,2 milliard de dollars.

Les géants bancaires américains, tels JPMorgan Chase et Citigroup, augmentent leurs réserves pour faire face aux éventuels impayés aux Etats-Unis.

«Nous allons devoir réduire un peu notre taille», avait déclaré, début décembre, le directeur général de Goldman Sachs, David Solomon, lors d’une conférence organisée par le Wall Street Journal.

Les départs seraient «probablement un peu supérieurs» à ce que pratique habituellement l’établissement, qui se sépare, tous les ans, de «1 à 5%» de ses effectifs, rapporte le site Semafor selon une source proche du dossier.

La banque d’affaires a bien développé des règles pour sélectionner et surveiller les placements inclus dans ce genre de produits. Mais pour certains d’entre eux, elle ne les a pas adoptées dès le début ou ne les a pas appliquées scrupuleusement.

La baisse des résultats est surtout dû à la moindre activité des banquiers conseillant les entreprises sur les entrées en Bourse, les levées de fonds ou les opérations de fusions-acquisitions (-57%).