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Le ministre britannique Rishi Sunak a appelé vendredi à Venise ses homologues à «se mobiliser» et «faire en sorte que les derniers détails de l’accord soient réglés d’ici octobre».

Selon une étude du cabinet Robert Walters, 47% des professionnels de la finance estiment que leurs compétences ne sont plus en phase avec les priorités futures.

Les grands argentiers des dix-neuf pays les plus riches du monde et de l’UE devrait valider à Venise l’entente de 131 pays sur un impôt minimal mondial d’au moins 15%.

Le Conseil de stabilité financière a mis en avant quatre domaines sur lesquels les efforts de coordination doivent être renforcés.

Quelques 130 pays, dont la Suisse sous certaines conditions, s’entendent pour la mise en place d’un impôt minimum sur les bénéfices «d’au moins 15%».

Réunis à Luxembourg, les ministres des Finances étaient censés finaliser un calendrier sur les travaux à mener pour achever l’Union bancaire de l’UE.

Cet accord du groupe des sept grandes puissances a été qualifié d’«historique» et de «moment de fierté» par le Chancelier de l’Echiquier Rishi Sunak, qui présidait la rencontre en tant que pays organisateur du G7.

Pour le ministre français Bruno Le Maire, le taux de 15% proposé par les Etats-Unis, «est un minimum (...) un point de départ».

«Nous voulons que les entreprises payent le bon montant d’impôt au bon endroit et j’espère que nous pourrons obtenir un accord juste avec nos partenaires», a déclaré le ministre des Finances britannique Rishi Sunak.

Les ministres des sept pays les plus industrialisés du monde, joints par les banquiers centraux et représentants de l’Europe et du FMI, devraient repousser au G20 de juillet l’annonce formelle d’un accord.