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«Il va y avoir de nouvelles façons d’interagir avec les appareils qui seront beaucoup plus naturelles que de pianoter sur un clavier ou de cliquer sur un bouton», s’est enthousiasmé Mark Zuckerberg.

La crainte des conséquences d’une perte d’emploi en fin de carrière est largement répandue et influence le débat sur le relèvement de l’âge de la retraite. C’est ce qui ressort de la nouvelle étude de Swiss Life.

Nouveau plus bas depuis le début de la pandémie avec 290’000 demandes d’allocations entre le 10 et le 17 octobre.

Le taux d’emploi a augmenté de 0,4 point de pourcentage au Royaume-Uni (où il atteint 75,1%) et de plus d’un point au Danemark (75,4%), en Islande (79,3%) et en Norvège (75,9%). En revanche, il a diminué de 0.6 point en Suisse (78,6%).

Aucun détail précis n’est donné sur les pays où seront localisés les futurs emplois, ni sur le type d’emploi concernés.

Entre le 3 et le 9 octobre, 293’000 personnes se sont inscrites au chômage pour recevoir une allocation, soit 36’000 de moins que la semaine précédente.

Le vice-président Richard Clarida estime «que la norme de ‘progrès substantiels supplémentaires’ a été plus que respectée en ce qui concerne le mandat de stabilité des prix».

«Ces suppressions de postes s’appuieront sur les départs naturels (estimés à 1'500 par an d’ici 2025) et la priorité donnée aux reclassements et mobilités internes», a précisé le groupe.

Au total, 194’000 emplois ont été créés le mois dernier, quand les analystes en attendaient 450’000, a annoncé vendredi le département du travail.

Le problème est d’autant plus regrettable «que pour la première fois depuis longtemps des hôtels affichent complet grâce aux retours des congrès à Genève», a relevé notamment Vincent Subilia, directeur de la CCIG.