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Le Nikkei a clôturé en hausse de 0,86% à 38.487,24 points. Il est monté pendant les échanges jusqu’à 38.865 points, se rapprochant de ses records absolus du 29 décembre 1989: 38.957,44 points en séance et 38.915,87 points en clôture.

L’indice élargi monte de 0,58% pour s’inscrire à 5’029,73 points. Le Dow Jones engrange 0,91% à 38’773,12 points et le Nasdaq avance de 0,30% à 15’906,17 points.

L’indice vedette Nikkei a regagné 1,21% pour finir à 38.157,94 points, plus très loin de son record historique de clôture atteint en décembre 1989 (38’915,87 points).

Le Dow Jones progresse de 0,40%, le Nasdaq grimpe de 1,30% et l’indice élargi S&P 500 monte de 0,96%.

Alors qu’il avait bondi d’environ 2,9% mardi et atteint un nouveau plus haut en clôture depuis 34 ans, l’indice vedette Nikkei a cédé 0,69% à 37.703,32 points.

Le Dow Jones subit sa plus forte baisse quotidienne depuis un an, perdant 1,35%. Le Nasdaq cède 1,80% et le S&P 500 lâche 1,37%.

Après un week-end de trois jours, le Nikkei a terminé à 37'963,97 points, soit un bond de plus de 1000 points par rapport à sa clôture vendredi dernier. Il avait brièvement dépassé les 38'000 points peu avant le gong.

Le Dow Jones monte de 0,33% à 38'797,38 points, le Nasdaq cède 0,30% à 15’942,55 points et l’indice élargi S&P 500 recule de 0,09% à 5’021,84 points.

Le leader mondial de la sécurisation des paiements est contraint de nommer rapidement un nouveau président «indépendant» du conseil d’administration et de couper les ponts avec les dirigeants de l’ancienne maison mère Atos.

L’indice élargi monte de 0,57% s’inscrivant de 26 points au-dessus des 5’000 points pour la première fois de son existence. Le Dow Jones fléchit de 0,14% à 38’671,69 points mais le Nasdaq grimpe de 1,25% à 15’990,66 points.