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Des activistes ont déclamé des vers générés par ChatGPT dénonçant le financement d’hydrocarbures par la banque britannique et inspirés de Shakespeare. Le président Nigel Higgins les a invités à «attendre la séance de questions et réponses pour avoir une discussion».

Le bénéfice net part du groupe a pris 27% sur un an à 1,8 milliard de livres (près de 2 milliards de francs), soutenu également par des dépenses juridiques fortement réduites comparé à 2022.

«Nous sommes prudents sur les conditions macroéconomiques mais continuons de voir des opportunités de croissance à travers nos activités en 2023», a commenté le directeur général CS Venkatakrishnan.

C.S. Venkatakrishnan indique à ses employés que sa maladie «a été détectée à un stade précoce» et avec un «excellent pronostic de guérison».

Le bénéfice net part du groupe atteint 1,5 milliard de livres au troisième trimestre, en hausse de 10%, pour un chiffre d’affaires de 6 milliards qui progresse de 9%.

Le bénéfice net part du groupe a chuté de 34% sur un an à 2,5 milliards de livres, pour un chiffre d’affaires en hausse de 17% à 13,2 milliards.

L’entreprise basée à Maidenhead, à l’ouest de Londres, compte environ 600 employés était détenue jusqu’ici par les américains Blackstone et Sixth Street Partners.

Le bénéfice net part du groupe ressort en baisse de 18% à 1,4 milliard de livres tandis que le chiffre d’affaires a progressé de 10% à 6,5 milliards de livres.

Le bénéfice net part du groupe s’est affiché à 6,4 milliards de livres, contre 1,5 milliard en 2020, grâce notamment à une reprise de provisions pour impayés de 653 millions de livres, qui se compare à une charge de 4,8 milliards un an plus tôt.

Année de normalisation, 2022 sonnera le glas du traditionnel 60/40 actions-obligations. Place aux marchés privés et aux hedge funds, estime Julien Lafargue de Barclays.