Dans sa lettre annuelle, Larry Fink, président et directeur général de BlackRock, réfléchit aux forces qui façonnent l'économie mondiale à long terme et à la manière dont BlackRock aide ses clients à appréhender ces dynamiques et à saisir les opportunités qu'elles génèrent.

Cette année, il souligne un principe fondamental qui guide l’activité de BlackRock: les marchés des capitaux peuvent soutenir plus de monde à bénéficier de la croissance et de la prospérité engendrées par le capitalisme. Larry écrit:

«Le capitalisme a fonctionné - mais pour trop peu de personnes... La solution n'est pas de renoncer aux marchés; c'est de les développer... Plus d'investissements. Plus d'investisseurs. Voilà la réponse».

La lettre détaille comment BlackRock, guidé par ce principe, s'est à nouveau réinventé pour continuer d’anticiper les besoins en constante évolutions de ses clients. Au cours des 14 derniers mois, BlackRock a acquis Global Infrastructure Partners (GIP) et Preqin, et a annoncé l'acquisition de HPS Investment Partners, notamment afin de faciliter l’accès aux marchés privés pour plus de clients et d'offrir plus de choix aux investisseurs.

«Les clients ont toujours été au centre de notre stratégie, et nous nous sommes développés de manière délibérée pour répondre à l'ensemble de leurs besoins. Nous avons construit une plateforme de gestion d'actifs et technologique différenciée, entièrement intégrée à la fois sur les marchés publics et les marchés privés».

A l’origine de ces décisions stratégiques, le constat qu’il existe un écart croissant entre la demande d'investissement et le capital disponible à travers des sources traditionnelles. Les marchés de capitaux peuvent aider à le combler.

Concernant l'Europe, Larry s’interroge «devrions-nous être à nouveau optimistes sur l'Europe?» La lettre souligne que BlackRock gère quelque 2’700 milliards de dollars pour le compte de ses clients britanniques et européens. Elle cite l'analyse de Mario Draghi, faisant écho à l’analyse de Larry selon laquelle «l'Europe se réveille».

«Les décideurs politiques avec qui je m’entretiens - et ils sont nombreux – constatent désormais que les obstacles réglementaires ne vont pas disparaître d’eux-mêmes. Ils doivent être surmontés. Et les gains qui peuvent en résulter sont considérables».

La lettre souligne également que les ETF contribuent au développement d’une culture d'investissement en Europe pour aider plus de monde à atteindre leurs objectifs financiers grâce aux marchés de capitaux:

«Lorsque les nouveaux investisseurs commencent à entrer sur les marchés financiers, ils le font souvent par le biais des ETF, notamment d'iShares…Nous travaillons avec des acteurs établis ainsi qu'avec plusieurs nouveaux entrants en Europe, dont Monzo, N26, Revolut, Scalable Capital et Trade Republic, afin de réduire les barrières à l’entrée et de renforcer l’éducation financière sur ces marchés».

Démocratiser l’investissement exige de l'innovation et un travail acharné. C’est à cette tâche que BlackRock s’attelle depuis 37 ans en tant que fiduciaire pour ses clients. Comme le dit Larry Fink:

«Nous avons toujours été convaincus que lorsque les gens peuvent mieux investir, ils peuvent mieux vivre - et c'est précisément la raison pour laquelle nous avons créé BlackRock».

Pour lire la lettre annuelle dans son intégralité, en anglais, cliquez ici