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Les huit pays «sont convenus de prolonger d’un mois leurs réductions volontaires supplémentaires de production de 2,2 millions de barils par jour», a indiqué l’alliance. Cette décision vise à soutenir les prix.

La machine est désormais lancée et les taux vont continuer à baisser. Une coupe d’un quart de point de pourcentage est majoritairement attendue.

En octobre, 12’000 emplois seulement ont été créés, a annoncé vendredi par le département du Travail, quand les analystes en attendaient 110’000.

Le prix d’une once d’or a atteint le sommet historique de 2'790,10 dollars, toujours galvanisé par une prime de risque géopolitique exacerbée et par les perspectives de baisses des taux américains.

L’indice mesurant cette activité s’est établi à 46,5%, contre 47,2% en septembre, selon les données publiées par la fédération professionnelle ISM.

Vers 14h40, la devise américaine grappille 0,08% à l’euro, à 1,0874 dollar, et perd 0,50% contre la livre, à 1,2964 dollar.

Cette hausse, déjà observée lors de précédents relevés, est due à l’épandage de grandes quantités d’engrais de ferme.

L’embellie constatée au niveau de la production et des carnets de commandes a été contrariée par une dégradation des délais de livraison, des stocks d’achats et de l’emploi, expliquent vendredi les experts d’UBS.

L’évolution des carnets de commandes, comme celle de la production ont largement contribué à faire passer l’indice PMI PME compilé par Raiffeisen à 51,9 points, contre 47,2 points en septembre.

Le groupe a enregistré sur les six premiers mois de 2024 une perte opérationnelle brute (Ebitda) de 123,5 millions de francs, après un résultat négatif de 43,3 millions un an plus tôt.