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Après avoir bondi en janvier, les attentes relatives à l’évolution économique sont revenues au niveau de la fin de l’année 2017 en avril.

Le commissaire au Budget, Günther Oettinger, vise des coupes dans la PAC et la politique de cohésion, deux domaines représentant plus de 70% du budget de l’UE.

La politique fiscale et commerciale pourrait s’avérer inflationniste: les réductions d’impôts vont alourdir la dette, et les tarifs douaniers risquent de renchérir les prix à l’importation.

Sur fond d’optimisme sur l’économie américaine, la monnaie européenne descend à 1,1997 dollar vers 21h, contre 1,2078 dollar lundi soir.

L’indice ISM manufacturier du mois d’avril déçoit les attentes en ralentissant à 57,3%.

Bruxelles veut être totalement et définitivement exemptée des mesures commerciales américaines.

Le groupe bancaire australien voit son bénéfice net grimper de 14,2% au premier semestre.

Brian Gilvary, le directeur financier de BP, assure que les projets en cours ont contribué davantage aux revenus du groupe que la progression du brut.

La hausse s’explique par des ventes plus importantes de camions et bus, alors que les constructeurs ont écoulé moins de voitures de tourisme.

De janvier à mars, les Etats-Unis ont emprunté 488 milliards de dollars, dépassant le précédent sommet datant de 2010.