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Toute inflation n’est pas n’est pas du ressort des banques centrales, même si sa maîtrise constitue pourtant leur mission commune. Il faut nuancer.

La «stagflation» est un concept censé expliquer la récente faiblesse des marchés actions, après 7 mois consécutifs de hausse. Or, la réalité est toute autre.

En quelques semaines, l’appétit pour le risque des investisseurs semble s’être amenuisé pour de multiples raisons.

Les marchés ressemblent à la vie: il faut parfois faire le ménage. A cette occasion surgissent des scènes de ménage. Certaines aboutissent à la séparation, d’autres sont mieux gérées.

Les conclusions du sixième rapport d’évaluation du GIEC sont sans appel: le réchauffement est encore plus rapide et plus fort qu’on ne le craignait, menaçant l’humanité de désastres sans précédent.

Devenu entrepreneurial, le marché spatial pèsera 2’700 milliards de dollars en 2045. Avec Rolando Grandi de La Financière de l’Echiquier.

Le secteur des loisirs et du tourisme, pourtant confronté à une forte demande jusque-là et à une pénurie de main d’œuvre, n’a-t-il créé aucun emploi en août.

Alors que l’été se termine, force est de constater que le variant Delta et les résurgences épidémiques n’ont pas remis en cause la marche en avant des marchés boursiers.

Les déséquilibres chroniques et concertés créent ainsi les conditions d’un équilibre renforcé – un équilibre de grand calibre.

Pendant que les écoliers reprennent le chemin de l’école avec un cartable alourdi de nouvelles fournitures, les banquiers centraux regagnent leurs bureaux feutrés avec un agenda chargé.