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Sans être véritablement comblées, les Bourses européennes restaient optimistes vers 11h20: Paris (+1,23%), Londres (+1,17%), Francfort (+0,80%), Madrid (+0,63%) et Milan (+0,87%).

Les marchés attendaient sereinement des réponses fortes des grands banquiers centraux et des gouvernements du G7 afin d’endiguer l’impact négatif de l’épidémie de coronavirus sur la croissance.

A la clôture vendredi, Paris était en recul de 3,38%, Londres de 3,18%, Francfort de 3,86%, Madrid de 2,92% et Amsterdam de 3,68%. A Zurich, le SMI a perdu 3,67%.

Mis à rude épreuve par le coronavirus depuis lundi, les marchés européens ont presque tous fini en baisse de plus de 3%.

Les places ont clôturé sur des pertes comprises entre 3% et plus de 5%.

Les places européennes ont clôturé sur des pertes comprises entre 3% et plus de 5%. Wall Street n’y a pas échappé.

Les places européennes perdaient du terrain, sans toutefois céder à la panique, les investisseurs s’interrogeant sur la suite éventuelle du conflit.

Donald Trump a mis le feu aux poudres en déclarant que son administration allait infliger des droits de douane supplémentaires sur les produits chinois jusque-là épargnés.

Le Dow Jones affiche un recul de près de 2% vers 18h20. L’Eurostoxx abandonne 1,68%. Plus tôt dans la journée, Tokyo avait clôturé sur une chute de près de 3%.

Le fleuron affaibli de l’industrie paie sa diversification dans les services financiers, suivie par la crise de 2008, mais surtout ses paris ratés dans l’énergie.