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Regula Berger, qui siégeait déjà au sein de l’organe de surveillance de Banque Cler, reprendra ainsi la présidence de l’ancien directeur général de la BKB, Basil Heeb, démissionnaire au 1er mars.

Malgré une chute de la rentabilité opérationnelle, le bénéfice net a pris 1,1% sur un an à 43,6 millions de francs, grâce à une fiscalité et des réserves plus légères.

L’établissement, propriété de la Banque cantonale de Bâle, est néanmoins parvenu à augmenter son bénéfice net de 1,1% à 21,7 millions de francs.

Diplômé en droit et associé au sein du cabinet d’avocats Schochauer depuis 2019, Silvio Hutterli dispose d’une longue expérience dans la gestion des risques ainsi que de bonnes connaissances de l’environnement juridique et réglementaire du domaine financier.

«Le marché du travail suisse a été plus stable que nous ne l'avions prévu, notamment grâce aux mesures de soutien adoptées par le Conseil fédéral», déclare Samuel Meyer, CEO de la Banque Cler.

Une augmentation du revenu en 2019 a une toute autre incidence que la même augmentation en 2022. Pourquoi? Parce que l’inflation a un impact majeur sur le pouvoir d’achat.

Pour Samuel Meyer, CEO de la Banque Cler, les Suisses font preuve d’une «prudence bien fondée, même s'il semblerait que le taux d'inflation diminuera à nouveau au cours du second semestre de 2023.

Dans son argumentaire, l’agence de notation a souligné «la très bonne capitalisation et la haute qualité du portefeuille de crédits hypothécaires» de l’établissement bâlois.

De janvier à juin, l’établissement bancaire a enregistré un résultat opérationnel de 42,5 millions de francs, soit un bond de 20,7% par rapport au premier semestre 2021.

Le conseil d’administration de l’établissement bâlois a nommé Sarah Braun à la tête du nouveau département Gestion du marché, en charge des prestations de distribution.