En se basant sur les performances boursières ou l’indice de misère plutôt que la possession de la balle ou les tirs cadrés, la Suisse perdrait contre l’Allemagne en huitième de finale.
Steen «Beckenbauer» Jakobsen, économiste en chef et CIO de Saxo Bank, présente sa vision économique de la Coupe du monde.
Ses critères de succès ne sont pas la possession de la balle, l'exactitude des passes ou les tirs cadrés, mais la performance boursière, l’indice de misère (composé d'inflation et de chômage), les spreads de swaps sur défaillance (et les coûts de couverture), et le coefficient de Gini (en tant que mesure de l'inégalité de la distribution des revenus).
Résultat: l'Islande remporte le championnat du monde, devant le Danemark et le Japon. La Suisse se qualifie pour les huitièmes de finale, mais perd de justesse contre l'Allemagne.
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