L’angel investing pour les entrepreneurs suisses

Communiqué, HSBC Private Bank (Suisse)

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Les entrepreneurs suisses peuvent utiliser l'investissement providentiel comme un moyen de rester en contact avec leurs pairs et de développer leur expertise, selon une étude de HSBC Private Banking.

Alors que l’angel investing (investissement dans les start-up) se développe encore en Suisse, les retours des jeunes entrepreneurs du monde entier suggèrent que cette pratique peut aider les entrepreneurs suisses à collaborer avec leurs pairs et accroître leur expertise. C’est ce qui ressort d’un nouveau rapport de HSBC Private Banking.

Les points suivants ont été remarqués:

  • Le succès des premières étapes de la création d’une entreprise est notamment déterminé par deux facteurs: la capacité à réunir le capital nécessaire à sa mise en place, et la possibilité de bénéficier de conseils pertinents et de qualité. Les individus - ou «business angels» - qui investissent dans les start-up apportent leur contribution sur ces deux plans, ce qui a conduit HSBC à s’intéresser à ce type d’investisseurs. 
  • Les résultats de la recherche montrent notamment que 57% des entrepreneurs de moins de 35 ans se lancent volontiers dans l’«angel investing». Ces derniers considèrent en effet ces investissements comme une manière d’entrer en relation et de collaborer avec leurs pairs, de rester au courant des progrès de l’industrie et des initiatives qui bouleversent les ordres établis, mais également d’améliorer et d’accroître leurs connaissances et leur expertise. En termes de valeurs, l’étude met en évidence le fait que les enjeux sociaux et environnementaux peuvent aller de pair avec le succès financier, ce qui encourage les jeunes entrepreneurs à poursuivre sur cette voie.
  • Par ailleurs, la recherche met également en lumière un aspect spécifique de l’ADN de l’entrepreneuriat suisse. Elle montre que la plupart (44%) des entrepreneurs interrogés en Suisse ont créé leur première entreprise alors qu’ils avaient la vingtaine, qu’environ la moitié ont soutenu des bonnes causes au cours de l’année écoulée et que seule une minorité (30%) envisage de vendre son entreprise dans le futur.

Pour retrouver le rapport complet intitulé «Essence of Enterprise», cliquez ici.